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Je suis Afrique

 

Définissons le pouvoir comme étant l'ascendant, l'emprise, la domination qui sont exercés sur un groupe d'individus. Cette possibilité matérielle peut être physique, moral ou psychologique. Ayant la plupart du temps le goût du carnage, de l'hécatombe, de sacrifices en vies humaines. Cette capacité <légale> ne mesure point l'importance ni la valeur de l'homme, sa priorité substantielle demeure sa suprématie, son envie de vaincre et de convaincre. 
Si ceci nécessite la destruction d'une bande d'individus, le marasme économique de tel ou tel Etat notamment africain, mort, y'aura. Ces formes d'autorités présentent l'homme sous un aspect effrayant et répréhensible. Cette autorité souveraine, cette puissance politique qui exige soumission et obéissance ne fait que confirmer cette dose d'animalité qui anime l'homme. Peu importe comment on obtient le pouvoir ou encore la façon dont il a  été négocié. L'essentiel c'est d'accéder à la magistrature suprême, d'être à la tête d'une constitution englobant des normes infondées.
Le pouvoir est fou, le pouvoir est flou, le pouvoir est bête, le pouvoir ne réfléchit point.  Celui qui le détient l'applique ou le fait exécuter  voire imposer par la force des décisions, des actes vils, immondes, ignobles ou inhumains exercés sur les nations les plus faibles économiquement, culturellement ou politiquement. 
Dans <mon  pays qu'est l'Afrique>, c'est cette forme d'emprise que nous vivons tous les jours. Extorsion de ressources naturelles, élimination d'un groupe social, frein économique juste pour que l'autre puisse conforter sa position internationale.  Parfois des dissidences sont créées au sein d'une ethnie, d'une religion pour faire diversion. Une toute nouvelle religion est née, toute faite, bien faite pour entacher une foi, pour toucher un fonds, un tréfonds bien constitué d'où l'existence d'un islamisme qui ne définit point son contenu. Du bordel, nous en avons dans notre territoire, nous ne possédons pas suffisamment de temps ni de force pour supporter tel ou tel pays. Qu'ils  le veuillent ou pas toutes les nations se valent.
La mort d'un étranger ne peut être plus important qu'un africain qui grève. 
Comme disait si bien l'autre < Il n'y a qu'un pas du fanatisme à la barbarie >. 
Fanta
24/11/2015 
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Date de dernière mise à jour : mercredi 25 novembre 2015