#sunumbir : c'est notre affaire ! 

Une fois n'est pas coutume

Sunumbir emploie je

Partisan de la théorie " qui s'explique s'implique",  je ne doute néanmoins nullement de la nécessité d'aider certains à lire entre les lignes pour comprendre mes prises de position.

Lucide, je ne suis ni euphorique ni passionné. Je suis libre, indépendant et  je reste constant. J’ai participé activement aux deux alternances que mon pays  connues. Et, j’en suis fier.

C’est en 1996, lors des élections locales que j’ai commencé à voter. En 2000, je combattis de toutes mes forces Abdou Diouf et son régime. Avec le Front Anti Fraude (FAF), je soutenais Wade pour le porter au pouvoir.

En 2007, je suis déçu par la gestion de Wade et voulus le faire tomber. Seulement, je démissionnai en entrevoyant des signaux forts d’une réélection du vieux : ce qui fit que je ne rendis point à Saint Louis pour aller voter. Qui choisir à la place de Wade ? Une question que nombre de Sénégalais se posaient à l’époque.

Je m'engage en 2011 pour combattre Wade et son troisième mandat. Je suis dans YEM et le Forum Civil. En Février 2012, le Conseil constitutionnel valida la candidature de Wade. YEM s'écarta de son combat et je gelai mes activités. Le Forum civil attendit que Wade quittât le pouvoir pour la sortie de la vidéo sur l'ANOCI. Je quittai cette organisation pour être indépendant.

Quand on choisissait Macky au second tour, je disais faisons avec lui contre mauvaise fortune bon cœur tout en disant à l'époque Wade des gages.

Je ne défends point Karim, je suis contre cette juridiction d'exception utilisée par les hommes politiques pour régler des comptes. Je suis un intellectuel libre. Je prends position lorsque je suis convaincu du bien-fondé de la cause. 

La CREI ne fait pas l’affaire. J’ai toujours comme l’impression qu’il s’agit d’une Cour Restaurée pour Eliminer un Intrus.

Sénégal : sunumbir a besoin de contrepouvoir.

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Date de dernière mise à jour : vendredi 02 juillet 2021